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Cette partie de fonds contient entre autres, des documents ayant appartenu à la famille de Gédéon Cloutier de
Saint-Joseph-de-Beauce. Fils de François Cloutier, Gédéon fut homme navigateur, rentier, propriétaire de logements, homme d’affaires et commerçant à Saint-Joseph-de-Beauce. Il avait un frère nommé Joseph (Badou). Gédéon mourut en 1956 à l’âge de 72 ans. On y retrouve de la correspondance du Collège de Saint-Joseph-de-Beauce, des cartes professionnelles, une liste des participants à la Chorale de la Messe de Minuit de Saint-Joseph-de-Beauce en 1944, un extrait du registre des baptêmes, mariages et sépultures, des notes, contrats, reçus et chèques, rubans, certificats, et une liste de prix. Le fonds contient aussi des calendriers, des photographies et des images pieuses.

Ce fonds illustre les activités scolaires et sociales à Sainte-Marie pendant la première moitié du XXe siècle. On y retrouve des photographies de religieux, des images extérieures et intérieures de l’église et de la chapelle Sainte-Anne, des élèves des classes du Collège de Sainte-Marie, des hockeyeurs de cette même institution, des pièces de théâtre, des cérémonies du 200e anniversaire de Sainte-Marie en 1944 et de l’estrade principale des Fêtes au centre-ville, ainsi que des images de débâcles.

Ce fonds contient un portrait au fusain de ce qui pourrait être un Lacoursière, personnage public de la Beauce au XIXe siècle

Ce fonds contient 2 panneaux (photolithographies) de la série Jésus et moi par Aloysius J Heeg, S.J., adaptation française par la Commission des Écoles catholiques de Montréal de Jesus and I Picture Roll, part. 1 : images pieuses grand format D.S.O. : h 82 x L 51,5 cm, ayant servi à l’enseignement de l’histoire sainte, une affiche (h 58,5 x L 37,5 cm) du Théâtre de l’Estèque, sérigraphie de Gill Champagne, pour la pièce Les célébrations de Michel Garneau, et des volumes sur l’art au Québec.

Ce fonds est important pour comprendre l’histoire de la ruée vers l’or en Beauce (première au Canada, avant le Klondike). Ce fonds contient des certificats d’actions de Léry Gold Mining Company, 3 photos représentant respectivement le moulin, le manoir et l’église de Saint-François (Beauceville), ainsi qu’un texte de journal et une biographie funèbre du seigneur Alexandre Chaussegros de Léry.

Ce fonds contient 1 carte illustrée en relief, avec le nom des rues et chaque bâtiment de la ville de Dover au New Hampshire (copie de 1888), paroisse franco-américaine, fondée notamment par des Beaucerons. Le fonds contient aussi une copie des plans de travail et de recherche d’Edmond Drouin, une liste de recensement des premières familles franco-américaines (Recensement de 1890), ainsi qu’une liste d’organismes d’histoire et de généalogie de la Nouvelle-Angleterre. Mr Drouin effectue en 2001 les recherches en vue de compléter l’histoire de Dover de 1870 à 2000. Ces documents constituent la base de son plan de travail.

Ce fonds est important pour l’histoire économique beauceronne. La partie de ce fonds acquise en l’an 2001 contient une grande photographie encadrée de M. Jacques Gagnon, fondateur des Caisses d’Entraide Économique du Québec, une photo du conseil d’administration 1980-81 de la Caisse d’Entraide Économique des Etchemins, le drapeau des Caisses d’Entraide Économique et un calendrier mural de la Caisse d’Entraide économique Beauce-Sud.

Ce fonds contient le devis de construction du Couvent de Saint-Joseph-de-Beauce

Ce fonds contient des photographies prises à l'occasion de défilés de la St-Jean-Baptiste dans les rues de St-Joseph-de-Beauce, dans les années 1930 à 1950. Les chars allégoriques, nombreux et variés, illustrent divers thèmes de la vie sociale, économique, politique et religieuse de l'époque.

Ce fonds contient deux portraits au fusain de ce qui serait probablement deux curés de Saint-Georges. Un des deux curés aurait baptisé Sara Gilbert, grand-mère de la donatrice (Claire Veilleux). L’autre aurait marié Sara Gilbert à Edmond Loignon, décédé le 25 février 1964 à Saint-Côme-Linière à l’âge de 83 ans et 9 mois. Ces portraits seraient l’œuvre d’un ou deux Allemands, probablement entrés illégalement au Canada, qui par conséquent ne signaient pas leurs œuvres, de peur d’être identifiés.